La mendicité dans notre canton est un fléau qui harcèle de nombreuses personnes, en particulier à Lausanne et dans les centres urbains. Les principales victimes sont les personnes âgées, vulnérables ou isolées. La loi votée hier au Grand Conseil doit désormais être appliquée à la lettre pour que l’impunité des clans criminels cesse enfin.

Le projet de budget 2025 présenté par le Conseil d’Etat est déficitaire à hauteur de 303 millions de francs. Il ne laisse plus aucun doute sur l’enjeu que constitue l’efficience de l’Etat. Alors que les revenus sont en hausse, le déficit s’alourdit. C’est donc bel et bien sur la maîtrise des charges publiques que le Conseil d’Etat doit agir.

Dans la foulée de l’enquête du journal Le Temps sur la gouvernance du département de la santé et de l’action sociale, l’UDC a déposé une série de questions au Grand Conseil visant à obtenir des réponses de la conseillère d’Etat Rebecca Ruiz (PS) et rappeler qu’en aucun cas, les campagnes et régions périphériques ne sauraient être sacrifiées sur l’autel du CHUV.

Hier soir, les membres du Comité central de l’UDC Vaud se sont réunis en vue de préparer le Congrès du parti cantonal le 3 octobre prochain. Ils ont constaté qu’à l’issue du délai d’annonce, aucun membre du parti ne s’est mis à disposition formellement pour briguer la présidence. La conduite du parti sera donc confiée aux trois vice-présidents, Emmylou Ziehli, le conseiller national Sylvain Freymond et Marco Carenza, dès le prochain Congrès.

Cet après-midi, environ 800 invités étaient réunis Froideville lors de la traditionnelle réception du président du Grand Conseil. Depuis le 1er juillet dernier, c’est le député UDC Jean-François Thuillard, agriculteur et syndic de Froideville, qui préside les débats du Parlement vaudois. Notre président, Kevin Grangier, lui a rendu hommage lors la partie officielle. Voici son allocution en tant que président de l’UDC du Canton de Vaud.

Le printemps passé, l’Université de Lausanne (UNIL) a été le théâtre de débordements et d’excès politiques insoutenables sous prétexte de revendications propalestiniennes. Cette prise d’otage exigeait que l’identité de professeurs collaborant ou ayant collaboré avec des Israéliens soit publiée. L’UDC a convaincu la majorité du Grand Conseil de ne pas céder à cette revendication inqualifiable.