Communiqué de presse
14 Oct, 2022
En début de semaine, le « panel d’experts » de l’ONU qui avait annoncé en janvier 2023 un rapport sur le racisme en Suisse l’a publié. Ce rapport, dont la rédaction ne respecte aucune méthodologie, rigueur et impartialité, serait recalé s’il était présenté par un élève du secondaire II. Le Conseil d’Etat va-t-il tolérer sans condamner un rapport qui fustige le prétendu comportement raciste de la police dans notre canton ?
Si, en préambule, il ne faut pas tout balayer d’un revers de main et si, comme dans n’importe quel pays, des améliorations peuvent être apportées, la grossièreté des accusations portées contre la Suisse par ce « panel d’experts » révèle un rapport militant largement basé sur des on-dit et des informations objectivement fausses et dont le but est d’abord de pouvoir étayer ses propres préjugés en conclusions. En particulier, il revient sur deux affaires qui ont secoué l’actualité vaudoise.
Dans ces affaires, celle de la gare de Morges durant laquelle un policier a été contraint de neutraliser un individu qui se ruait vers lui armé d’un couteau, et celle du dénommé Mike Ben Peter, un ressortissant africain soupçonné de deal de drogue, décédé à Lausanne durant son interpellation par la police, le rapport passe des faits déjà établis sous silence. Dans le cas de la gare de Morges, les prétendus experts passent sous silence le fait que l’individu neutralisé était armé d’un couteau au moment où il a été neutralisé, dans le cas de Mike Ben Peter, ces mêmes experts tentent de lier ce cas à celui de l’Américain Georges Floyd (asphyxié sous le genou d’un policier) alors que l’enquête menée au sujet de Mike Ben Peter, a exclu l’asphyxie comme cause du décès.
L’UDC Vaud ne tolère pas que nos policiers, que nos institutions et que notre pays soient ainsi méprisés par un simulacre d’expertise qui peut maquiller son militantisme politique sous le label de l’ONU. Notre parti attend que le Conseil d’Etat condamne ce rapport indigne sans réserve !
Interpellation contre la professeure de l’UNIL qui use de désobéissance civile
La presse a révélé durant la semaine qu’une professeure de l’UNIL avait participé aux actions de désobéissance civile à Berne en bloquant la circulation. Aux yeux de l’UDC, s’il est évidemment permis à toute personne, dont celles employées par l’Etat ou des institutions associées à l’Etat, de pouvoir exprimer ses opinions publiques, il est évidemment totalement inadmissible pour quiconque – et en particulier les employés de l’Etat ou d’institutions associées telles que l’UNIL – de désobéir civilement. La désobéissance civile est un poison pour nos institutions et notre démocratie.
En effet, les problèmes se règlent selon nos règles démocratiques et, en dernier recours, le peuple est appelé à voter et trancher. Tout comportement visant à s’affranchir de nos règles démocratiques met en danger la cohésion sociale, le respect de nos institutions et les fondements qui régissent notre vie en société. C’est pourquoi l’UDC interpellera le Conseil d’Etat pour connaître son appréciation de la situation et ses intentions au sujet des actes de désobéissance civile de cette professeure.
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